Les anciens tests de RP

Pour que vous puissiez mieux connaitre l'histoire des personnages du forum, j'ai décidé de publier leur test de RP qui raconte leur première venue à la maison Phénix. Si un des auteurs a quelque chose à modifier, qu'il me le dise en réponse !

Allez, bonne lecture !

Shiro Adachi a écrit:

Voilà, c'est ici que cet homme s'arrête. Il n'a pas l'air très âgé mais plutôt très jeune, il descendait du vieux bus avec une grande valise marron à la main. Harven. Cette ville allait être son premier bout de chemin vers le monde rustre qui l'attendait, depuis quelques mois déjà. Le garçon n'avait pas l'air pressé, il marchait d'un pas lent et sans intérêt, totalement délassé. Il vit le panneau d'entrée en plaque de cuivre verre ou les lettres de la ville avaient été gravées en blancs. Il fallait le faire et puis, ce n'est pas comme si il le voulait. Il fallait le faire, point. Le blond posa un pied à l'intérieur de la ville puis l'autre. Il marchait droit devant lui sans même prendre le temps d'admirer les belles maisons en pierres blanches. Tout était si spacieux, la joie de vivre ne se faisait pas ressentir mais l'étrange sentiment de bien être naissait au fond de Shiro. Celui-ci sortit un plan imprimé sur du papier abîmé. Shiro la regarda de ses yeux bi-colore et releva sa tête en face de lui. Il n'avait pas marché longtemps pour enfin voir son tout nouveau lieu de travail.
:_ Bienvenue à la maison Phénix ! Disait-il sur un ton blasé.
Shiro se sentait légèrement nerveux. Sur un pas de loup, il ouvrit doucement la porte de la grande maison qui ne grinça pas sous l'étonnement du garçon. Il entra discrètement à l'intérieur et observa le peu de monde qu'il y avait devant lui. Parmi l'un d'entre eux, le barman, debout derrière son comptoir. Il astiquait rapidement ses verres et quand il vit le jeune homme, il lui sourit.
_ Ah ! Voici donc notre hôte ! C'est le Directeur qui va être content !
Shiro se rapprocha de lui et posa sa grande valise au sol. Il regarda le barman de son visage agressif.
_ Hé. Doucement là, c'est pas comme ça que tu vas plaire aux clients, tu vas plutôt te faire punir oui ! s'exclama t-il sur un ton de remontrance. Shiro répliqua
_ C'est mon visage par défaut, donnez moi la clef de ma chambre. Le barman se retourna et tira d'une commode incrustée dans le comptoir, une clef attachée à un grigri.
_ Voilà. Tu peux commencer à travailler dès que tu le souhaites, mais ne prend pas trop tes aises non plus.
_ Oui, bien sûr..
Sur ce, Shiro prit la clef et sa valise. Il quitta le rez-de-chausée pour monter jusqu'à sa chambre, la 124.

Hunter Disavory a écrit:

Hunter Ditsavoiry est un orphelin depuis l'âge de 5 ans il a tout fait pour ne pas se retrouver a l'orphelinat , a l'adolescence il avait entendu parler de la maison close de monsieur Tôsen , Hunter se sachant homo pensa que se fût une bonne idée pour trouver de l'argent est arrêté de fuir. Hunter savait qu'il avait un physique qui plaisait, être blond et grand au yeux noisette était son principale a tout il se dirigea donc vers se lieu interdit.
Arriver a l'intérieur il lâcha a l'employeur avec franchise et sans émotion de peur ou même d'inquiétude:

- Je veux voir monsieur tôsen , je veux faire parti de ses employer!

il savait tres bien qu'on lui refuserait l'accès des bureaux mais c'était un rebelle de nature il traversa donc le domaine pour^trouver se fameux monsieur Tôsen en hurlant dans tout les locaux:

-JE VEUX VOIR MONSIEUR TÔSEN IMMEDIATEMENT

Arriver devant les directeur hunter blêmit se sentant inferieur et soumis ,l'inquiétude commençant a monter.

-b...bonjour monsieur, je me nomme Hunter , Hunter Ditsavoiry et j'aimerai faire parti de cet maison

Il attendait le jugement du directeur pour savoir si il pouvait y appartenir quand il lui demanda ses raisons des larmes sortie des yeux de hunter.

-je n'ai aucune raison de vivre je n'ai plus de famille , je suis prêt a vendre mon corps si nécessaire pour être a l'abris du danger et pour avoir un petit peu d'argents

Hunter n'était pas au courant qu'il ne serait presque pas payer mais quand on l'accepta il sauta de joie.

-Merci monsieur, je vous rendrez avec beaucoup de gratitude se service

(Remarquez l'erreur, le directeur est sensé être invisible.)

Alvisse Kreiss a écrit:

-Tu n'as jamais entendu parler de la Maison Pheonix? Demanda Takama, surprit que son interlocuteur soit si peu au courant
-Non, Takama, tu sais bien que je viens juste d'arriver. Pourquoi?
-Ils offrent des postes bien payer si ça t'intéresse.
-Mais pour quel travail? Demanda Alvisse, un regard interrogateur
-Je ne sais pas, je n'y suis jamais allé. Se justifia Takama avant d'ajouter; enfin, tu devrais y faire un tour, juste pour voir.
Sur les conseils de son ami, dont il avait pleinement confiance, Alvisse se décida après réflexions à y faire un tour, dans cette fameuse "Maison Pheonix" dont on entendait parler parfois dans la rue. Il se demandait bien ce qu'il pouvait avoir de si spécial, cet établissement. A Harven, c'était devenu une sorte de tabou, mais ça, Alvisse ne le savait pas encore. En effet, plongé dans ses recherches d'emplois, il avait prit des mesures drastiques quand à son emploi du temps. Mesure la plus importe: on ne se déplace pas n'importe où si ce n'est pas pour aller chercher un emploi, pour aller acheter des provisions ou aller voir des amis. Et rien ne devait enfreindre cette règle dont le contenu était chronophage, quitte à se délaisser. Mais dubitatif et curieux à la fois, il se résigna à y aller tout de même.
Il se retrouva donc, quelques jours plus tard, devant la fameuse maison. Les gens autour le regardaient, des yeux interrogateur et l'air de dire "mais qu'est-ce qu'un garçon comme lui vient faire ici?". Contre tout attente, cela ne fit pas reculer Alvisse, qui attrapa la poignée de cette porte en bois massif qui le dominait de qu'au moins 1 mètre et la poussa, sentant alors de la nervosité mêlée à de l’excitation l'envahir. "Ressaisit-toi" pensa-t'il, "Tu n'as plus 5 ans!".
C'est dans l'odeur; un parfum ou une aberration, il ne savait pas trop; de tabac qu'il avança dans un long couloir aux couleurs plutôt chaudes. Il arriva alors dans une grande pièce, surplombée d'un magnifique chandelier et contenant quelques personnes, cigarette aux becs qui regardaient le nouveau venu. Tous ces regards et l'ambiance commençaient à le mettre mal à l'aise...
Il vit soudain qu'un homme l’interpella
-Venez par ici! Demanda l'homme, le sourire aux lèvres
Alvisse obéit.
-Je suis le secrétaire, je m'occupe des nouveaux venus. Qu'ils soient clients, employés ou - il baissa soudain sa voix qui devient inaudible- hôtes.
-C'est donc à vous que je dois m'adresser si je veux avoir un emploie?
-Exacte! Bien bien, allons voir... oui! Nous avons besoin de quelqu'un dès demain!
Alvisse, surprit mais craintif, accepta en souriant l'offre...
-Bien je serais là!
Il se retourna, tout en se disant "compte pas sur moi pour travailler dans cet endroit glauque!" entama le même chemin qu'à l'aller et commença à pousser la porte...
Mais seulement, la porte ne bougea pas d'un pouce.

Jin Hyung a écrit:

Il n'avait pas toujours habité à Harven, dans cette ville si banale, ni même dans ce pays. Non, Jin venait de loin, de bien plus loin, et il fallait bien avouer que sa Chine natale lui manquait plus qu'il ne l'aurait pensé. Depuis son arrivée, le jeune homme ayant atteint tout récemment ces dix-sept ans était plus perdu qu'autre chose, que ce soit niveau relations ou niveau sens de l'orientation d'ailleurs. Certes, des amis il n'en avait jamais eu à la pelle, mais la difficulté de s'intégrer ici était plutôt élevée pour un jeune étranger comme lui, surtout qu'il était timide. C'est dans un état d'esprit propice aux songeries qu'il sortit donc, laissant ses petits-frères à la maison. Il n'avait aucun but en particulier, ni aucune destination d'ailleurs car il sortait en réalité que très peu. Au cours de ses chemins, ses pensées divaguèrent naturellement vers sa vie d'avant qu'il regrettait aujourd'hui, mais sa balade prit une toute autre tournure lorsqu'il reconnut une odeur familière. Jin se demanda même inquiet si son cerveau ne commençait pas à lui jouer des tours. Cette odeur lui paraissait si lointaine mais si terriblement familière. Il savait qu'elle n'évoquait pas des souvenirs de Harven, mais bel est bien de Chine. C'était tout de même impossible, il ne parvenait pas à mettre le nom sur cette fragrance. Sans même s'en rendre compte, le jeune homme le suivait, puisqu'il n'avait pas de destination, autant suivre cette mystérieuse odeur. Au fur à mesure qu'il se rapprochait, elle s'intensifiait, de même que ses souvenirs, et ce fut une fois devant la porte que tout lui sauta aux yeux. L'opium. C'était l'opium cette fameuse odeur qu'il connaissait. Son grand-père en consommait régulièrement et il avait d'ailleurs toujours identifier à sa venue chez eux pour les vacances. Toujours est-il qu'il était là maintenant, devant cette porte tout aussi mystérieuse que son arrivée ici. Un homme se tenait non loin. Il s'approcha d'un air méfiant et demanda avec une pointe de curiosité.

"Ou sommes nous .. ?"

L'homme lui accorda un regard et seulement après sourit devant sa question.

"A Harven."

Lui répondit t-il en ricanant, ce qui agaça un peu l'asiatique du reste, peu heureux qu'on se fiche de lui, bien sûr qu'il savait qu'il était à Harven, c'était plus qu'évident, mais il avait besoin de savoir quel était cet endroit qui l'intriguait autant.

"Je sais, mais quel est cet endroit ?!"

Après lui avoir de nouveau rit au nez l'inconnu s'approcha de lui d'un air énigmatique en regardant la porte.

"Cet endroit tu dis, la maison Phénix ?"

Après un vive réponse affirmative de Jin, qui n'avait absolument aucune idée de ce qu'était cette fameuse maison, l'homme se tourna vers l'entrée en murmurant avec amusement, un air énigmatique toujours présent sur son visage en poursuivant sur sa lancée.

"Tu n'as qu'a pousser la porte et rentrer pour voir."

C'est sur cette simple phrase que le jeune homme prit son courage à deux mains, curieux et poussa la porte de la maison Phénix.

Ce message sert de point de départ à un RP que vous pouvez retrouver ici.